sabato 27 febbraio 2016

mercoledì 24 febbraio 2016

VA DOVE TI PORTA L'ARTE...



In occasione della mostra sulle maschere organizzata dalla nostra scuola, durante la inaugurazione-dibattito è emerso il dubbio degli studenti su dove ti porta il seguire un percorso artistico-scolastico. A tale proposito ho voluto chiedere ad una studentessa universitaria che sta  seguendo  questo percorso di spiegare ai giovani studenti marinesi le motivazioni che la hanno portata su questo percorso e dove potrà portarla. Ho scelto questa persona per vari motivi fra cui quello che  è , in qualche modo legata a Marineo per via del Gemellaggio con Saint Sigolenne. Ed è anche per questo che ho preferito non tradurre l’articolo perché non posso pensare che dopo trentanni l’unico risultato che abbiamo ottenuto con questo gemellaggio è l’intestazione di via e piazze sia ai morti che ai vivi in lista di attesa. 
Le professoresse potranno non solo tradurre l’articolo ma anche discuterlo.



ARTICLE DE NADINE POUR ONOFRIO

PRESENTATION DE NADINE
Je suis Nadine, étudiante en France en Double Cursus en école de Management et Histoire de l’Art. Je réalise actuellement un semestre d’échange dans le cadre de mes études de management au sein de l’Université de Bocconi à Milan. Une occasion pour moi de faire le lien entre le Management et l’Histoire de l’Art puisque Bocconi est une référence en la matière. Passionnée par le secteur de la Culture, de l’Art, l’Industrie Créative, je reste persuadée qu’il est possible de s’épanouir dans ce secteur et cet article a pour objectif de partager mon opinion sur l’épanouissement dans l’industrie culturelle et artistique.
ORIENTATION DANS L’ART ET LA CULTURE
VIVONS L’ART & VIVONS LA CULTURE MALGRE LES APPRIORIS DU MARCHE DE L’EMPLOI !
Lorsque j’ai obtenu mon Baccalauréat en 2009 à l’âge de 17ans en France, il était temps de faire un choix d’orientation pour les études supérieures. Ce moment fut difficile car malgré ma passion pour l’Art et la Culture, j’avais des aprioris sur ce secteur. En effet, l’année de mon Baccalauréat fut une année de crise économique internationale et les choix d’orientation étaient fonction du contexte économique. Par ailleurs, il était conseillé dans mon cas en possession d’un Baccalauréat Economique de partir dans un domaine de gestion, d’économie appliquée, une branche propice pour trouver du travail. Ce contexte m’incita à choisir une orientation axée Business dans un premier temps, je suis entrée en école de commerce pour un Bachelor en Commerce/Marketing. Cependant, j’avais toujours au fond de moi un manque intérieur : l’Art ! La Culture ! Il fallait que je trouve une alternative me permettant d’étudier en Management et de continuer des études humanistes.
J’AIME L’ART CAR IL ME REND BIEN !
Suite à cette forte passion, j’ai donc décidé de m’inscrire en Histoire de l’Art en parallèle de mes études de management. J’ai commencé à explorer davantage l’univers professionnel de l’industrie culturelle, les possibilités, les orientations, les salaires, l’environnement. Il en est ressorti que choisir le domaine de l’Art et de la Culture est un choix de cœur, d’amour et de passion. Il ne s’agit pas d’un secteur où l’on va gagner des milliers d’euros par mois une fois diplômé, si c’est ce que vous recherchez alors il faut faire d’autres choix d’orientation, partez donc en Finance, en conseil et stratégie, mais ne choisissez pas l’Art et la Culture pour être riche financièrement car ce secteur apporte d’abord une richesse intérieure. La richesse procurée par le secteur est symbolique, psychologique, sociale, intellectuelle, un équilibre qui demande aussi de donner de donner de soi. Oui, il y a des opportunités dans ce domaine, oui il est également possible de créer soi-même dans ce domaine.
TRAVAILLER ET ENTREPRENDRE DANS LE SECTEUR DE LA CULTURE ET DE L’ART
Toute personne à profil artistique, management, sciences-humaines etc… peut trouver sa place dans cet univers. Cependant, je reste persuadée qu’il est plus percutant de posséder une double compétence pour être davantage utile dans ce marché. De fait, un étudiant issu des Arts Plastiques, du Design, de l’Architecture, littérature etc… est doté d’outils utiles pour renforcer les besoins du marché de l’emploi dans le secteur de l’Art et la Culture, tout comme une personne issue de Droit, Gestion, Economie. Néanmoins, l’avantage d’avoir une double compétence permet d’élargir et de rehausser notre potentiel sur le marché du travail. Par ailleurs, il faut savoir que ce secteur est large et il ne faut pas se restreindre à des choix classiques. Je recommande pour ceux qui souhaitent être salarié(es) d’explorer la sphère privée et publique. Enfin pour ceux qui ne souhaitent pas être salarié(es) il est aussi possible d’entreprendre et de monter un projet au service des particuliers ou des professionnels (ouvrir une galerie, un agence d’évènement dans l’Art, créer sa troupe de théâtre etc…).
L’ART EST INTERNATIONAL, EXPLORER L’INTERNATIONAL
L’une des forces des personnes issues est la culture, la maîtrise de connaissance proposant une ouverture d’esprit notable. Le moyen efficace de développer cela est bien sûr l’instruction, l’éducation, la curiosité, l’information, la diffusion. Le degré de cette force dépend de notre champ d’ouverture. Il ne faut pas se limiter à une zone, l’Europe est riche et diverse, elle ne s’arrête pas uniquement à l’Italie, la France, l’Allemagne où l’Angleterre, mais il y a aussi l’Europe de l’Est, la culture nordique qui ont un marché porteur dans l’Art et la culture notamment concilié à la haute technologie. Par exemple, Amsterdam est un lieu riche culturellement, plusieurs rendez-vous culturels internationaux se déroulent dans cette charmante capitale. Cet aspect nécessite donc de maîtriser d’autres langues étrangères, c’est un critère indispensable pour saisir de belles opportunités dans le milieu de l’Art et la culture (Anglais, Italien, Français, Espagnol, Chinois, Portugais, Russe, Japonais, Arabe, Hébreux, mas aussi les langues anciennes telles que le latin et le grecque sont bien perçue dans certains cadres etc...). Les opportunités sont présentent au-delà de nos frontières, il faut aller à la conquête de la réussite au-delà de notre confort patrimonial, familiale et social.
ALLER A LA RENCONTRE DES PROFESSIONNELS ET CULTIVER SON RESEAU
Il n’y a rien de plus concret que d’aller à la rencontrer des professionnels du marché de l’Art et de la culture pour mieux appréhender ce secteur. De mon expérience, aller à la rencontre des professionnels m’a permis de savoir la direction que je voulais prendre et de cerner les côtés positifs et négatifs de ce domaine. Il n’existe pas de métier parfait, de secteur parfait, de parcours parfait, la vie professionnelle est un choix à entretenir en permanence pour nourrir l’épanouissement personnel.

martedì 23 febbraio 2016

APLOGIA DEL SIG.TORQUATO TASSO... RARISSIMA CINQUECENTINA.

Eccovi una rarissima edizione dell'Apologia di Torquato Tasso in difesa della sua Gerusalemme Liberata. Scritta in difesa della sua opera. Non tutte le bibblioteche ne possiedono una cosa. Stampata nel 1585 a Ferrara. La mia copia la debbo a Rosamaria Maturo in Maffia che me ne fece dono il giorno 8 marzo 2010 in occasione della festa della donna.  Faceva parte della bibblioteca Fiorentini- Bonelli - Maffia di Montalbano Jonico.



domenica 21 febbraio 2016

L'ECO DEL NOME DELLA ROSA....



Ho conosciuto Umberto Eco mentre ero a Cipro dietro l’Arc. Makarios che tramite il metropolita di Paffos stava trasformando i monasteri di Cipro in Spa. L’ho conosciuto nel senso che i giornali erano pieni della polemica che un cipriota aveva innescato accusando Eco di plagio per il suo Il nome della Rosa. Non so come fini la cosa ma iniziata che tutti ridevano del cipriota credo che alla fine dovettero giungere ad un compromesso. Poi lo incontrai alla presentazione del Le Vie del Cavaliere del dott.Prof. Antonio Pasqualino che avvenne alla libreria Cavour di Milano. Ricordo che mi chiamò il direttore del Corriere della Sera per dirmi : come si presenta un libro sui pupi e tu non ci sei ? Arreda almeno la libreria ! E cosi avvenne che portai libri, pupi e cartelloni in libreria. Eco esordi sgridando i fotografi e mettendo in riga pubblico e presenti. Ci sbalordì quando con un giro di parole disse che non aveva ancora letto il libro… che stava presentando quando nello stesso libro passava addirittura per “consigli ricevuti”. Era presente anche la moglie del Segre , la signora Corti , già allora stella a se. Erano gli anni migliori di Eco e poteva permettersi di tutto dall’alto della sua “sapienza” che in questo caso era reale e lui se la godeva tutta. Era nella fase del “sentenziatore” e ancora nessuno osava non solo commentarlo figuriamoci criticarlo. Era l’ospite principale delle cene al Campidoglio l’uomo di prestigio dopo Agnelli da mostrare agli ospiti.
Qui finisce la mia testimonianza casalinga senza valore alcuno se non quello di far parte dei miei ricordi.
Negli stessi giorni esponeva a Milano la Signora Rosalia Pasqualino , mamma del professore, affermata pittrice in Sicilia. Al ritiro dei quadri ci volle la fermezza del prof. Pasqualino per far saltare fuori un quadro misteriosamente sparito e subito ritrovato dallo stesso professore. Erano anche gli anni che frequentavo assiduamente gli altri Pasqualino, possessori del titolo di Marchesi di Marineo. Il cui figlio aveva sposato  una Manzoni Chiosca le cui figlie frequentavano con la mamma e gli zii il mio teatro. La Signora teneva in piedi “Il Cammino di San Giacomo” di Compostella che allora aveva sede vicino al nostro Teatro sul Naviglio. Ora da quando una delle figlie fu aggredita mortalmente in Turkia ci siamo rivisti pochissimo.   

sabato 20 febbraio 2016

UN FIORE GIALLO




Era una settimana che dovevo e volevo andarci. Stavo per rinunziare quando ieri sera in Tv passano un servizio sul cimitero di Lambrate infestato dalle nutrie. Inizia un dibattito sul dove vivono le nutrie. Poi si avanzano ipotesi che siano ratti quindi topi e giù di li. Abituato a vedermi girare fra le gambe gli scoiattoli al cimitero di Praga (quando andavo a trovare Jan Palack e Don Antonino Mandl entrambi vittime dello stesso assassino) ero sbalordito anche perché non me ne ero mai accorto di queste nutrie. E cosi questa mattina trovo il cimitero affollato come il giorno dei morti, forse a causa del servizio televisivo. Non ho ancora perso l’abitudine di “cercare” fra i morti cosi come facevo negli anni sessanta quando a Milano non avevamo nemmeno un morto ed io  andavo a trovare tutti i morti e mi appassionavo alle loro storie, quando riuscivo a interpretare foto, nomi, date , cognomi e dediche. Sono tornato con varie impressioni e riflessioni che non hanno nulla di originale, ma che mi hanno tranquillizzato non poco. Intanto già la mattina  ,grazie al nostro bollettino culturale locale vengo a sapere di Umberto Eco e mi precipito nell’altro bollettino (quello abilitato allo scaglio della prima pietra) per sapere dei marinesi ospiti nelle patrie galere per gli orrendi crimini commessi. Inizio il mio solito giro-breve cioè limitato agli stretti congiunti… I miei “stanno tutti bene”… e credo sia inutile domandarlo o chiedere se mancano di qualcosa. Mi rileggo i nomi e quantaltro dei loro vicini e debbo ammettere che mi sono sembrate tutte facce pulite. Sono più o meno tutti coetani perché in questo cimitero i campi sono secondo la data di morte. E cosi puoi trovare un vecchio ottantenne vicino ad un giovane ventenne morti più o meno lo stesso giorno, ma di storie completamente diverse. Chi possiede tombe gentilizie in pratica è isolato e sembra come se nessuno volesse avvicinarlo perché queste cappelle sono totalmente isolate. Ti viene da dire : bella e brava gente i vicini. Anche perché la riflessione che faccio è : qui non ci sono delinquenti . O meglio come fai a individuarli e allora ti godi l’idea che qui non esistono. Cosi chiunque sia il tuo vicino è certamente una persona per bene ! E’ meraviglioso ! E’ una delle cose positive della grande città. Nessuno conosce nessuno… almeno al cimitero ! Poi passo dall’ospite più recente. So già che nessuno lo andrà mai a trovare e mi colpisce una delicatezza istituzionale. Il campo 27 è lontanissimo dall’ingresso e l’ultimo in uso. Ora è stato “sistemato”. Cioè l’amministrazione ha delineato gli spazi e definito il tutto. Ora chi vuole può “allestire” il tumulo a sue spese. Ma una cosa mi ha colpito e commosso. L’amministrazione nel fare ciò ha ,secondo regolamento , messo targa e matricola, alzato il terreno, delimitato gli spazi e messo una piccola lapide identificativa. Ma ha anche messo un fiore giallo delicatamente poggiato vicino ad una croce… Cosi come hanno fatto con gli altri. Io mi sono vergognato perché avevo promesso di portargli un biscotto con la giuggiulena che regolarmente ho dimenticato a casa.

venerdì 19 febbraio 2016

APPUNTAMENTO PER IL 26 E 27 FEBBRAIO

A MARINEO IL TEATRO DEI PUPI !





CONTINUA LA MAGIA CHE FU DEI NOSTRI NONNI ...

ACQUAVERDE 26



ACQUAVERDE 26
La storia che volevo raccontarti
DI  SALVATORE GIUSEPPE POMARA

ILRACCONTO DELLA DOMENICA

 CONCLUSIONE


  
     

Con la scomparsa dei genitori, le visite negli Stati Uniti diminuirono solo di frequenza. Ad aspettarlo, all’aeroporto JFK di New York, c’era Annì, la sorella. Ed era ogni volta un ritorno a casa. In nessuna città si sentiva così bene come a New York, perciò ci tornava ogni volta che poteva. Non mise invece più piede a New Orleans, nonostante avesse promesso ai parenti di tornarci. Sarebbe stato triste per lui non trovare la casa del nonno e quanto rimaneva della farma. L’uragano aveva buttato giù tutto. Il Mississippi aveva fatto il resto. «Io non credo», scriveva Carol dopo il cataclisma, «di poter vedere, nell’arco della mia vita, questa città ritornare quella che era…le nostre esistenze sono cambiate per sempre, ma siamo tutti vivi e questo è ciò che conta…». Del viaggio a New Orleans conservò i ricordi assieme al ritratto del nonno, appeso a una delle pareti dello studio, sul quale di tanto in tanto portava lo sguardo.




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   With the disappearance of his parents, his visits to the United States only diminished in frequency. Only his sister Annì was waiting for him at the JFK – and it was a reunion.
In no other city did Pepo feel as good as he did in New York, so he went back there whenever he could.     However, he didn’t set foot again in New Orleans, even though he had promised his relatives that he would return. It would have been just too sad for him to go there and not find his grandfather's house and what remained of the ranch. The hurricane had knocked everything out. The Mississippi had done the rest. "I do not believe," wrote Carol after the cataclysm, "that I will see, in my lifetime, this city get back to what it was ... our lives are changed forever … But we're all alive and that's what counts..." He kept the memories of his trip to New Orleans with the portrait of his grandfather — which hung from one of the walls of his office.


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